Stratégie de développement des compétences
Aujourd'hui, je vous propose des conseils que je donne en entreprise, et qui pourrait aussi vous servir en famille ! 😉
Je vais aborder pour aujourd'hui un élément type qui cause, ou évite, des malentendus: Communiquer nos attentes ! De mon côté, j'ai vécu tellement souvent des frustration, simplement parce que mes attentes n'étaient pas les mêmes que celles de mes enfants, de mon conjoint, de ma famille, etc. Et le pire, c'est que souvent, je prenais pour acquis qu'ils auraient dû savoir ce que je voulais, ou encore qu'ils voulaient la même chose que moi, ou pire... que leurs attentes sont plus importantes que les miennes. 🙈 Voici 10 conseils pour communiquer vos attentes de manière claire et sans ambiguïté :
En appliquant ces conseils, vous créerez un espace où les attentes sont claires, et où tous se sentent guidés et prêts à contribuer pleinement (ou presque si vous avez des ados 😜) !
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Gestionnaires : Moins de décisions, plus d’énergie !
Avez-vous déjà ressenti, en fin de journée, cette impression d’avoir l’esprit saturé ? Comme si même choisir quoi manger pour souper devenait une montagne ? Si oui, c’est probablement la fatigue décisionnelle qui se manifeste. Chaque jour, nous prenons une quantité impressionnante de décisions, grandes ou petites. Avec le temps, cette accumulation d’arbitrages épuise notre cerveau, ralentit notre efficacité et peut même affecter notre bien-être. Heureusement, il existe des moyens simples et concrets pour réduire cette charge mentale et préserver notre énergie. Qu’est-ce que la fatigue décisionnelle ? C’est cette sensation de trop-plein mental qui survient quand on enchaîne les décisions du matin au soir. Plus on avance dans la journée, plus notre cerveau s’épuise, ce qui nous pousse soit à prendre des décisions impulsives, soit à procrastiner sur des choix importants. Résultat ? On devient plus fatigué, moins concentré et parfois même irritable. Et si on pouvait alléger tout ça pour garder notre clarté d’esprit et notre énergie plus longtemps ? 3 astuces simples pour reprendre le contrôle 1. Limiter les décisions inutiles Certaines décisions prennent de la place… alors qu’on pourrait s’en débarrasser dès le départ !
2. Prioriser pour mieux avancer Tout n’a pas la même importance. Alors, au lieu de tout traiter au même niveau :
3. Déléguer et lâcher prise Vous n’avez pas à tout porter seul ! Apprendre à déléguer, c’est aussi se donner de l’espace mental.
Petit pas, grand impact ! Alléger la prise de décision au quotidien, c’est se donner plus de clarté, de temps et d’énergie pour ce qui compte vraiment. Et surtout, c’est éviter d’arriver à la fin de la journée complètement vidé. Alors, quelle habitude allez-vous essayer en premier ? Storytelling publié sur LinkedIn –
Elle rayonnait aux yeux de tous. Femme accomplie. Gestionnaire respectée. Mère présente. Amie dévouée. De l’extérieur, elle incarnait cette image de réussite parfaite. Toujours organisée, toujours prête, toujours à la hauteur. Mais à l’intérieur, c’était une autre histoire. Elle ne s’arrêtait jamais. Chaque moment de repos venait avec une dose de culpabilité. Chaque compliment reçu résonnait comme un mensonge qu’elle s’efforçait de cacher. Parce qu’au fond, elle avait cette voix. Cette voix qui chuchotait sans cesse : “Tu pourrais faire mieux.” “Tu devrais en faire plus.” “Ça ne sera jamais suffisant.” Elle donnait tout à son équipe. Mais rentrait le soir avec l’impression de ne pas en avoir fait assez. Elle passait du temps avec ses enfants. Mais se reprochait de ne pas être plus présente, plus patiente, plus aimante. Même dans ses moments de réussite, elle voyait les failles. Les détails qu’elle aurait pu peaufiner. Les erreurs qu’elle aurait dû éviter. Le fardeau de la perfection pesait sur ses épaules. Elle jonglait avec ses responsabilités, ses ambitions, ses rêves… Mais ne se permettait jamais de poser ce fardeau. Elle s’épuisait. À force de courir après un idéal qu’elle ne pourrait jamais atteindre. À force de se juger selon des critères qu’elle ne pardonnerait à personne d’autre. Jusqu’à ce que tout s’effondre. Une fatigue qu’elle ne pouvait plus ignorer. Une lassitude qui lui pesait jusque dans les os. Un cœur alourdi par cette impression de vide, malgré tout ce qu’elle accomplissait. Un jour, elle a décidé de parler. De s’ouvrir à quelqu’un qui comprenait vraiment. Pas pour trouver des solutions. Mais simplement pour être entendue, sans jugement. Ce jour-là, elle a réalisé qu’elle n’était pas seule. Qu’il existait d’autres femmes comme elle. Des femmes ambitieuses, brillantes, fortes… mais humaines avant tout. Elle a compris que la perfection est un mythe. Que ce n’était pas en faisant plus qu’elle trouverait la paix… Mais en apprenant à s’accepter telle qu’elle était. Elle a découvert un espace où :
À redéfinir son succès en fonction de ses valeurs, pas des attentes extérieures. Pour la première fois depuis longtemps… Elle a ressenti de la légèreté. Elle a trouvé un équilibre entre l’ambition et la sérénité. À toutes celles qui ressentent cette pression constante : Il est temps de déposer ce fardeau. De reconnaître tout ce que vous accomplissez déjà. De vous permettre d’être imparfaites… et épanouies. Parce qu’être suffisante, c’est déjà incroyable. Storytelling LinkedIn –
Elle avait appris à sourire. Toujours. Peu importe le chaos. Peu importe la pression. Peu importe la douleur qu'elle portait en elle. Dans son équipe, elle était celle qui écoutait. Celle qui remontait le moral, qui trouvait les solutions, qui félicitait les efforts. Celle qui savait motiver même quand tout semblait s'écrouler. À la maison, c'était pareil. Un sourire pour les enfants, même après une journée qui l'avait vidée de toute énergie. Un sourire pour son partenaire, même quand elle n'avait qu'une envie : pleurer en silence. Mais à elle... Qui lui demandait comment elle allait vraiment ? Qui la félicitait pour ses victoires, même les plus petites ? Qui l'encourageait quand elle avait envie de tout abandonner ? Personne. Elle avait beau être entourée d'équipes, de collègues, de proches... Elle se sentait seule. Tellement seule. Elle se forçait à séparer son cœur de ses responsabilités. Parce qu'elle n'avait pas le droit de craquer. Pas devant son équipe, pas devant ses enfants. Elle pensait pouvoir tout gérer. Jusqu'à ce que ça lui coûte. 😮Des nuits blanches à ruminer ses doutes. 😮Des journées à sourire en façade, en cachant un cœur épuisé. 😮Des moments où elle ne se reconnaissait plus dans le miroir. C'était le prix du silence. Le prix de celle qui encourage tout le monde... sauf elle-même. Puis un jour, quelqu'un lui a posé la question. Une question simple, mais qu'elle n'avait pas entendue depuis longtemps : “Et toi, comment tu vas vraiment ?” Elle n'a pas su quoi répondre. Parce qu'elle ne savait plus. Elle avait tellement appris à tout séparer... Qu'elle s'était séparée d'elle-même. Ce jour-là, elle a compris qu'elle avait besoin d'aide. Pas seulement pour gérer son équipe. Mais pour apprendre à se gérer elle-même, à s'autoriser à ressentir. Elle a pris une décision. Celle de ne plus porter ce fardeau toute seule. Celle de chercher un espace où elle pourrait être vulnérable, sans avoir à se justifier. Ce jour-là, elle a découvert un endroit où :
Pour la première fois, elle a ressenti un soulagement. Non pas parce que ses défis avaient disparu. Mais parce qu'elle n'avait plus à tout porter seule. Parce qu'elle avait trouvé une communauté de femmes qui comprenaient vraiment ce qu'elle vivait. Des femmes ambitieuses, fortes, mais humaines avant tout. Elle avait enfin trouvé un espace où elle pouvait enlever ce masque de perfection. Et découvrir que sa vraie puissance résidait dans son humanité. À toutes les femmes qui portent ce fardeau invisible : Être forte, c'est bien. Mais s'autoriser à être vulnérable, c'est encore plus courageux. Et si tu osais, toi aussi, enlever ce masque ? Storytelling LinkedIn –
Elle observait les lumières s'éteindre une à une dans les bureaux voisins. Il ne restait que son écran, illuminant son visage fatigué. Encore une soirée à finir seule ce que d'autres auraient dû accomplir. Elle se souvenait du jour où elle avait accepté ce poste. Responsable d'équipe. On lui avait parlé de défis motivants, d'opportunités de croissance. Mais on ne lui avait pas dit que son quotidien ressemblerait à ça. Ce qu'on ne lui avait pas dit, c'est que diriger une équipe peut aussi être...
Elle pensait que ça irait mieux avec le temps. Mais le temps passait, et rien ne changeait. Elle faisait des heures supplémentaires pour rattraper les erreurs, pour gérer les urgences, pour combler les départs. Le plus difficile ? Personne ne comprenait vraiment ce qu'elle vivait. Pour les autres, elle était simplement “une gestionnaire qui fait son travail”. Ce soir-là, en éteignant son ordinateur, elle s'est surprise à murmurer : “Est-ce que ça va toujours être comme ça ?” C'est à ce moment précis qu'elle a pris une décision. Pas une décision de quitter, ni de baisser les bras. Mais une décision de demander de l'aide. Pas pour apprendre à travailler plus. Mais pour apprendre à travailler autrement. Elle a cherché des solutions, mais surtout un espace pour comprendre comment briser ce cercle vicieux. Une coach et un espace où elle pourrait partager cette réalité sans peur du jugement. Un lieu où d'autres femmes comme elle réinventaient leur leadership. Cette année-là, entourée de femmes ambitieuses, elle a découvert :
Pour la première fois depuis longtemps, elle a respiré. Pas seulement parce qu'elle avait trouvé des solutions concrètes. Mais parce qu'elle avait trouvé des alliées. Des femmes qui comprenaient exactement ce qu'elle vivait. Puis, suite à une weekend ensemble, elle est retournée au bureau avec un regard différent. Pas parce que les défis avaient disparu. Mais parce qu'elle n'était plus seule pour les affronter. À toutes les femmes qui portent ce fardeau invisible : Le leadership ne doit pas être un sacrifice. Parfois, le changement commence simplement en osant partager sa réalité. Et toi, as-tu déjà ressenti ce poids ? Storytelling LinkedIn –
Je me souviens de cette soirée où tout a basculé. Assise devant mon ordinateur, les lumières de la ville scintillant à travers la fenêtre, je relisais une énième fois ce courriel que je n'osais pas envoyer. Il était minuit passé. Encore. Tout le monde pensait que j'avais tout : Un poste enviable, un salaire confortable, une équipe respectueuse. Mais ce qu'ils ne voyaient pas, c'était le poids. Ce poids invisible que je portais en permanence. Le poids des décisions qui n'appartiennent qu'à toi. Des nuits blanches à anticiper l'impact de chaque choix sur l'équipe, les résultats, l'avenir. Le poids d'être forte. Toujours. Parce que montrer une faille, c'est risquer de briser l'image de leader que tu t'es efforcée de construire. Ce soir-là, ce poids m'a écrasée. J'ai fermé l'ordinateur, éteint les lumières, et je suis restée là, dans le noir, à ressentir cette solitude intense. Pas parce que je manquais d'amis ou de soutien. Mais parce qu'en haut, tout en haut, il n'y a personne pour vraiment comprendre ce que tu vis. Alors j'ai décidé de faire quelque chose d'impensable : demander de l'aide. Pas pour résoudre mes problèmes. Mais pour être écoutée. Pour être comprise, sans jugement. Pour partager cette vulnérabilité que je cachais depuis si longtemps. J'ai trouvé cet espace. ✔️Un lieu où les ambitions ne sont pas des fardeaux, mais des forces partagées. ✔️Où la vulnérabilité est une preuve de courage. ✔️Où le leadership prend une autre dimension : celle de l'authenticité. Ce weekend-là, entourée de femmes ambitieuses comme moi, j'ai appris à respirer à nouveau. À porter ce poids différemment. À m'autoriser à être humaine. C'est là que j'ai compris : On peut être à la fois forte et vulnérable. Leader et en quête de soutien. Ambitieuse et en recherche d'équilibre. Je n'ai plus jamais ressenti cette solitude de la même façon. Parce qu'il existe des espaces pour se ressourcer, pour se comprendre, pour se relever. Il suffit d'oser les chercher. À toutes les femmes ambitieuses qui portent ce poids invisible : Tu n'as pas à avancer seule. Tu n'as pas à tout porter sans fléchir. Parfois, le leadership le plus puissant commence par un simple pas vers l'autre. Et toi, où trouves-tu ton espace de ressourcement ? Histoire : La PME de Sophie et l'impact de l'absence imprévue
Sophie était la directrice générale d’une petite entreprise familiale, "VivaSolutions", spécialisée dans le conseil et la gestion de projets pour les PME. Cela faisait plus de 10 ans qu’elle dirigeait l’entreprise avec brio. Son équipe l’admirait non seulement pour ses compétences techniques, mais aussi pour son approche humaine et sa capacité à résoudre des problèmes complexes. Sophie était le cœur et l’âme de VivaSolutions, et tout le monde, clients comme employés, savait que son expertise était indispensable au bon fonctionnement de l’entreprise. Sophie avait une relation privilégiée avec chacun de ses collaborateurs. Elle connaissait les forces et les faiblesses de son équipe, et son travail était marqué par des décisions stratégiques judicieuses qui faisaient croître l’entreprise chaque année. Grâce à son expérience et sa manière de guider l’entreprise, tout fonctionnait comme sur des roulettes. Un matin de janvier, Sophie ressentit une légère douleur au ventre. Rien de bien inquiétant, pensait-elle. Mais les douleurs persistèrent, et elle décida finalement de consulter son médecin. En quelques jours, le diagnostic tomba comme un couperet : un cancer fulgurant, stade avancé. Sophie était dévastée, mais encore plus choquée par la rapidité de la situation. En l’espace de quelques jours, elle était hospitalisée et avait commencé un traitement agressif. Elle ne reviendrait pas au bureau avant de longs mois. Ses médecins lui donnaient une période de convalescence de 18 mois, le temps de se soigner et de se remettre sur pied. Les employés de Sophie étaient sous le choc. Personne ne s'attendait à une telle nouvelle. L'impact fut immédiat et massif. Bien que Sophie ait toujours eu des adjoints et des gestionnaires de projets qui l’aidaient au quotidien, aucun d’eux ne possédait l’ensemble des connaissances stratégiques et techniques qu’elle détenait seule. Son savoir-faire, ses processus internes, ses contacts clients et fournisseurs… tout cela était dans sa tête. Elle avait toujours géré les décisions cruciales, mais n’avait jamais pris le temps de formaliser ses méthodes ou de les transmettre de manière systématique. Face à cette absence soudaine, l’équipe de direction se retrouva déboussolée. Les gestionnaires tentaient de palier l'absence de Sophie, mais chacun avait ses propres responsabilités et aucune personne n’était prête à assumer la charge supplémentaire. Le management se dispersa, des décisions furent prises rapidement, mais sans une vision claire et sans consulter les bonnes données. Les décisions prises dans l’urgence commencèrent à avoir des répercussions. Les projets en cours furent mal gérés, les clients commencèrent à se plaindre de délais non respectés, et certains fournisseurs changèrent de conditions sans préavis, car ils n'avaient pas le contact direct avec Sophie pour résoudre rapidement les problèmes. L’absence de ses orientations stratégiques fit que l'entreprise perdit de sa cohésion et de son efficacité. Les employés commencèrent à se sentir démotivés. Ils essayaient de se soutenir, mais aucun d’eux n’avait la vision globale de Sophie. Ils ignoraient comment résoudre certaines situations ou prendre des décisions qui auraient été naturelles pour elle. Le stress monta, les erreurs se multipliaient. Un mois après son départ, la direction reçut des plaintes de clients majeurs, menaçant de rompre les contrats si les services ne s’amélioraient pas immédiatement. Mais ce n’était pas tout. Sans Sophie pour superviser et valider les décisions financières, une série de mauvais investissements furent réalisés. L’entreprise prit des risques qu’elle n’aurait jamais pris normalement, et l’état financier commença à se détériorer rapidement. Le personnel, bien qu’essayant de faire de son mieux, n’avait pas les bons outils ou la vision d’ensemble pour anticiper et éviter les erreurs. Au bout de 6 mois, malgré les efforts des gestionnaires et du personnel pour reprendre le contrôle, l’entreprise était au bord du gouffre. Les clients fidèles commençaient à se tourner vers d’autres entreprises, et la réputation de VivaSolutions s’était altérée. Le moral des employés était au plus bas, et plusieurs personnes clés avaient décidé de quitter l’entreprise. Lorsque Sophie revint enfin après 18 mois de pause, elle trouva une entreprise méconnaissable. Beaucoup de ses collègues et clients avaient disparu, et l’entreprise était en crise. Elle se sentit dévastée par la situation, mais une prise de conscience s’opéra en elle. Elle réalisa que, bien que sa présence ait été indispensable, la pérennité de l’entreprise ne pouvait pas reposer sur une seule personne. Sophie décida alors de prendre un tournant radical dans la gestion de l’entreprise. Elle s’entoura de consultants pour aider à structurer et formaliser tous les processus internes. Elle mit en place des outils de gestion de projet, de documentation et de communication qui permirent à l’ensemble de l’équipe d’avoir accès aux informations stratégiques de manière centralisée. Elle créa des manuels d’opération, des procédures standardisées pour chaque département, des tutoriels, des capsules de formation et veilla à ce que chaque employé puisse facilement comprendre et appliquer ces processus. L’idée était de sortir toutes ses compétences et connaissances de sa tête et de les transmettre sous forme de ressources accessibles à toute l’équipe. Peu à peu, l'entreprise retrouva son équilibre. Non seulement la structure devint plus solide, mais elle permit aussi une meilleure intégration des nouveaux employés, sans qu’ils aient besoin d’une supervision constante. Sophie, bien que redevenue un pilier de l’entreprise, comprit qu’un système solide et bien documenté était la clé pour traverser toute crise imprévue. Morale de l’histoire : Il est essentiel de formaliser et de systématiser les connaissances clés de l’entreprise, afin que celle-ci puisse fonctionner de manière autonome même en cas d'absence imprévue d'un élément central. La mise en place de procédures et d’outils robustes garantit non seulement la continuité des opérations, mais permet aussi de renforcer la résilience de l’entreprise face à l’incertitude. Ne laissez pas vos connaissances et compétences rester dans la tête d’une seule personne. Titre : Pourquoi la pérennité de votre entreprise ne doit pas dépendre de la présence d’une seule personne
Julie, directrice des opérations chez "Innovatech", une PME en pleine croissance dans le secteur technologique, était l'âme de l’entreprise. Depuis plus de 8 ans, elle gérait les projets avec une précision d’orfèvre. Tous les employés, des développeurs aux commerciaux, la respectaient pour son expertise et sa capacité à résoudre les problèmes les plus complexes. Elle avait ce don de transformer chaque obstacle en une opportunité, et ses décisions stratégiques étaient le moteur de l’entreprise. Mais un matin, Julie reçut un appel du médecin qui allait bouleverser sa vie et celle de l’entreprise. Après plusieurs semaines de douleurs inexpliquées, les résultats de ses examens étaient tombés : un problème cardiaque grave nécessitant une intervention immédiate. La seule option était de subir une opération urgente, suivie d'une longue période de rééducation. En quelques jours, Julie fut contrainte de quitter son poste, et l’entreprise se retrouva sans sa directrice, sans possibilité de la remplacer sur le court terme. L'impact immédiat : Une entreprise en crise L’équipe, choquée et inquiète, tenta de gérer la situation, mais rapidement, la réalité de l’absence de Julie se fit sentir. Aucun des autres gestionnaires n’avait l’ensemble des informations nécessaires pour prendre des décisions stratégiques aussi rapidement qu’elle. Julie avait accumulé au fil des années des connaissances précieuses sur les processus internes, les relations clients et les décisions complexes qui soutenaient l’ensemble des projets en cours. Sans un cadre clair pour les guider, l’équipe prit des décisions dans l’urgence, mais sans cohérence. Les projets commencèrent à accumuler des retards, et plusieurs clients, impatients de voir des résultats, commencèrent à se tourner vers la concurrence. Le manque de documentation des processus internes, qui reposaient en grande partie sur l’expérience et les décisions spontanées de Julie, se fit cruellement ressentir. Les gestionnaires de projet tentaient tant bien que mal de combler le vide, mais ils manquaient de repères. L'entreprise était en train de perdre ses repères et sa compétitivité. En quelques mois, la rentabilité chuta, et l’équipe commença à perdre confiance en sa capacité à surmonter cette crise. La prise de conscience : La nécessité d'une bibliothèque du savoir Pendant sa convalescence, Julie, tout en se battant contre sa santé, réfléchissait à la situation de son entreprise. Elle réalisa qu’elle n’avait jamais pris le temps de formaliser ses connaissances, ni de documenter les processus et décisions qui avaient fait le succès d’Innovatech. Elle avait toujours pensé qu’elle était indispensable, qu’aucun remplacement ne pourrait faire de même. Mais elle comprit que cette dépendance à une seule personne mettait en péril l’avenir de l’entreprise. Julie prit alors une décision importante : dès son retour, elle engagerait Visionium, un expert en gestion des connaissances, pour créer une "bibliothèque du savoir" au sein de l’entreprise. Ce système permettrait de centraliser toutes les informations clés — les processus, les stratégies, les relations avec les clients et partenaires — afin que l’entreprise puisse fonctionner sans dépendre uniquement de sa présence. L'engagement de Visionium : Construire une entreprise résiliente De retour en pleine forme, Julie se lança dans la création de cette bibliothèque du savoir, où chaque membre de l’équipe pouvait accéder aux informations nécessaires pour gérer l’entreprise de manière autonome. Grâce à cette approche, Innovatech ne dépendrait plus d’une seule personne pour prendre des décisions stratégiques. Le processus de transfert de connaissances devint systématique et intégré au quotidien de l'entreprise. Avec la collaboration de Visionium, Innovatech mit en place des outils numériques permettant de centraliser les procédures, les bonnes pratiques, et les informations stratégiques. La formation des nouveaux employés devint beaucoup plus fluide, et le transfert de compétences plus efficace. La leçon : La pérennité passe par la documentation L’histoire de Julie et Innovatech nous montre à quel point il est crucial de ne pas laisser l’avenir d’une entreprise reposer sur une seule personne, même si cette personne est exceptionnelle. En documentant et en systématisant les connaissances, vous créez une entreprise résiliente, capable de surmonter les imprévus. Chez Visionium, nous croyons que chaque entreprise mérite de disposer d’un savoir partagé, accessible à tous, pour garantir la continuité et la croissance. Ne laissez pas la pérennité de votre entreprise dépendre d’un seul individu. La mise en place d'une bibliothèque du savoir est un investissement pour l'avenir de votre équipe et de votre organisation. #Entrepreneurship #Leadership #GestionDesConnaissances #BusinessResilience #TransformationDigitale #Pérennité #Innovation #PME #Visionium Cliquez ici pour lire l'article original écrit par Verbatum, Langues sur mesure
Apprendre l’anglais, c’est parfait pour voyager partout dans le monde, obtenir une promotion, améliorer l’expérience client et développer de nouveaux marchés. Mais c’est bien plus que ça… Stimuler la mémoire La mémoire, c’est comme un muscle : quand on l’entraîne, elle se développe. Lorsque vous apprenez l’anglais, vous devez retenir du nouveau vocabulaire, des règles de grammaire et de syntaxe ainsi que la conjugaison des verbes, dont les fameux verbes irréguliers. Une excellente activité pour travailler votre mémoire ! Des chercheurs de l’université de Lund, en Suède, ont découvert que l’apprentissage d’une nouvelle langue change la structure du cerveau. Ils ont observé qu’après seulement trois mois d’apprentissage, certaines parties du cerveau agrandissaient : trois régions du cortex cérébral ainsi que l’hippocampe, la partie du cerveau impliquée dans la mémoire et les émotions. Favoriser la santé du cerveau En moyenne, les premiers signes de démence arrivent vers 71,4 ans chez un adulte unilingue. Toutefois, ils se présentent en moyenne vers 75,5 ans chez les personnes qui parlent deux langues ou plus. Suivre des cours d’anglais permet donc de développer ses neurones et d’activer ses cellules grises, ce qui ralentit leur dégénérescence. Améliorer la confiance en soi et l’estime de soi Faire des progrès, aussi petits soient-ils, de semaine en semaine, c’est excellent pour la confiance en soi. De la même façon, plus vous maîtrisez une langue, plus vous renforcez votre estime de soi. Être plus heureux Une étude sur le langage réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université Otto Von Gericke, en Allemagne, et de l’Institut de recherche biomédicale de Barcelone a démontré que l’apprentissage d’un nouveau mot dans une langue seconde active le centre de la récompense dans le cerveau. Alors, oui, apprendre l’anglais peut représenter un défi, mais chaque succès est une source d’épanouissement, d’accomplissement et de plaisir ! Devenir multitâche Vous enviez les gens qui sont capables de faire deux choses en même temps ou qui ont une facilité à passer d’une tâche à l’autre ? C’est aussi à votre portée. Eh oui, ça s’apprend, surtout pour les personnes multilingues. Pourquoi ? Parce que passer du français à l’anglais entraîne votre cerveau à passer, de la même façon, d’une activité à l’autre. Vous voyez : l’apprentissage de l’anglais engendre des bénéfices que vous ne soupçonniez pas, hein? En terminant, notre collaboratrice Mélina Dufour, présidente de Visionium et experte en développement des compétences en organisation, résume à merveille la vision de l’apprentissage qu’ont les membres de l’équipe de Verbatum : « Une personne qui apprend, c’est une personne qui a des étoiles dans les yeux, qui devient passionnée, qui a des projets et qui veut s’améliorer. » C’est ce que nous souhaitons à nos clients et c’est ce que nous VOUS souhaitons aussi. Écrit par Verbatum Sur le même sujet: Le parcours Verbatum: unique et efficace 4 questions à se poser pour bien choisir son cours d’anglais en ligne Les gestionnaires ont une importance capitale dans les organisations.
Lorsque ce sont eux les nouvelles ressources, il est important de les aider à devenir autonomes, afin d'éviter plusieurs problèmes potentiels, autant pour eux, que pour les équipes et l'organisation. Voici les étapes à suivre pour améliorer l'autonomie des gestionnaires dans une organisation : Évaluation de la Situation Actuelle :
Mélina Dufour, BoostCoach |
AuteurMélina Dufour, experte en stratégie de développement de compétences et mastercoach en neurosciences vous partage des trucs et analogies pour vous aider à vous développer. Archives
Mars 2025
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